Les sondages publiés dans le monopole de presse prêtent à rire...
On a vu le précédent, on voit le dernier, même éclat de rire ! Ils sont semblables à la différence près que l’éléphant motodidactique parisien qui devait écraser tout le monde dès le premier tour des élections, écraserait tout le monde au second tour… il n’a pris que sept jour de retard… dixit le monopole. C’est la même soupe, réchauffée et délayée pour la rendre plus crédible. Quand on se promène dans les rues de la ville, que l’on parle avec les gens dans les quartiers, que l’on écoute les rumeurs, quand on lit ce qui circule sur les sites et forum internet, on demeure confondu à la lecture du dernier sondage en question. Le motodicate a peut-être mis en place une fabrique de voix, pour remplacer toutes celles qui lui manquent… Alors s’il veut gagner il va falloir faire fonctionner sa planche à voix magique jour et nuit, car le moins que l’on puisse dire c’est que la Vox populi ne lui est pas favorable à Nice. Malheureusement pour lui les Niçois ont une mémoire en béton. Impossible de leur faire croire qu’il est un homme neuf, car il est dans les tuyaux de la politique depuis trente ans, impossible de leur faire croire qu’il est un bon gestionnaire, car nous avons eu les preuves du contraire, impossible de croire à ses promesses, car en s’obstinant à vouloir créer un mouvement virtuel, il s’empêtre dans les contradictions et cela devient grotesque. Il n’est pas parvenu à mater les Kanaks, on peut donc légitimement penser, sans orgueil de clocher, qu’il ne matera pas les forces populaires niçoises. Il semble n’avoir pas compris que chacun de ces « sondages » sont tellement crédibles, tellement véridiques, tellement plausibles, qu’ils éloignent de plus en plus d’électeurs de lui… Et surtout, lui qui se dit Niçois parce qu’il est né à Nice, ne connaît pas du tout l’esprit niçois : les Niçois ont horreur qu’on les prenne pour des benêts…